Giulia s’intéresse aux mécanismes cérébraux à la base de l’acquisition des sons de la parole et du vocabulaire chez les nourrissons de 0 à 2 ans. Plus précisément, elle étudie l’impact qu’aura une naissance prématurée sur ces processus. Cette population à risque, par son exposition précoce au monde, lui permettra d’évaluer le rôle des mécanismes de développement acquis par opposition aux mécanismes de développement préprogrammés sur le processus des fonctions du langage. Afin d’identifier les biomarqueurs précoces prédictifs de trajectoire développementale linguistique et cognitive anormale.